Cela embrouille les interprétations quant à la raison pour laquelle la religiosité générale est liée à un divorce futur plus faible et à d’autres issues familiales, et en particulier si ces effets proviennent de ressources spirituelles ou de luttes.
Essai sur l’esprit de contradiction des Pères de l’Eglise. La doctrine de l’Eglise chrétienne, professée, par une suite de docteurs faisant autorité et garants de la pureté de l’orthodoxie - les « Pères de l’Eglise » - est essentiellement au christianisme. Elle s’est grosso modo constituée pendant la période dite de l’Antiquité chrétienne, du Ier au VIIe siècle. La tradition a retenu comme « Pères de l’Eglise » ceux qui se sont distingués par leur orthodoxie et la sainteté de leur vie. Or, les Pères de l’Eglise n’ont pas tous mené une vie exemplaire ni professé une doctrine identique. Pierre-Emmanuel Dauzat dresse ici le portrait de douze d’entre eux, six Latins (Tertullien, Cyprien, Ambroise, Jérôme, Augustin et Boèce) et six Grecs (Justin, Clément d’Alexandrie, Origène, Grégoire de Nazianze, Jean Chrysostome et Cyrille d’Alexandrie), et s’efforce de montrer la tension entre leur pensée et leur vie ou comment une forte obsession personnelle a pu donner naissance à une pensée originale et souvent insoluble dans le dogme des siècles ultérieurs.
Parce qu’ils étaient constamment obligés d’abandonner leurs réponses immédiates. Dans sa totalité - même si les expressions individuelles spécifiques manquent - la vie consacrée est une réalité enracinée dans la révélation et l’appartenance à l’Église, un don précieux de son époux et sauveur. Le propriétaire moyen des esclaves appliquait les règles de l’église lorsqu’il s’agissait de leurs relations familiales privées.-}