En outre, nous devrions manger ou consommer seulement la quantité de nourriture dont nous avons besoin.
Le Slow Food doit bien sûr son nom à l’autre, celui qui va vite. Il s’y oppose point par point : recherche de goûts riches et pleins, diversité des saveurs, produits cultivés et récoltés selon des méthodes traditionnelles et, surtout, éloge de la lenteur. Car il faut du temps pour que des tomates mûrissent au soleil ; il faut du temps pour préparer des testaroli au pesto, une sorte de gâteau de crêpes italien ; et il faut prendre le temps de les déguster… Dans Les Plaisirs du Slow Food, Corby Kummer nous raconte l’histoire du mouvement Slow Food et de ceux, producteurs et cuisiniers, qui ont donné vie à cet idéal. L’ouvrage propose également 40 recettes, simples, de chefs renommés, qui mettent en valeur les goûts des aliments : agneau aux épices turques, moussaka de fèves, soupe de tortillas, crêpes au caramel et aux noix de pécan, roquette à la ricotta grillée et aux tomates cerise, pudding d’été aux mûres et aux pêches, ou encore tagliatelles d’épeautre aux gésiers de canard.
Nous avons vu cela se produire si rapidement dans la région de Richmond au cours des 5 dernières années. Global Week of Action, le documentaire est maintenant disponible. Leur fromage, promu par un Presidium Slow Food, témoigne également de l’intégration, au cours des siècles, des âmes des Capverdiens et d’Europe, en particulier du Portugal.-}